Invité Invité
| Sujet: Elaïa, la chère et tendre peste Ven 31 Déc - 16:52 | |
| Nom Prénom
Nom : Brynjolf Prénom : Elaïa Age : 21 ans Date de naissance : 09/02/2004 Groupe : Esclave Lieu de Résidence : En attente d'être vendue
|
(c) credits |
I. La naissance
Les jumelles naquirent un certain Lundi 9 Février 2004. Le couple des Brynjolf jeunement mariés attendaient impatiemment ce cadeau du ciel sans se douter qu'au lieu d'un seul bébé ce serait deux bébés totalement identiques qui les regarderaient avec des yeux bleus profond. Cela décupla leur bonheur. Deux petites filles aussi merveilleuses, le couple était comblé et ce fut donc dans une famille aux allures de famille parfaite existant que dans les rêves les plus fous que grandirent Elaïa et Evangeline. Leur lien s'était déjà formé dans le ventre de leur mère, mais une fois nées ce lien parût s'accroitre de plus en plus, au point que les deux petites voulaient dormir dans la même chambre, s'habiller presque toujours pareil. Le problème de reconnaissance se posa dès le départ, comment reconnaître Ela de sa jumelle ? Bien sûr les caractères des petites prirent plus d'ampleur et il fut plus aisé de les différencier. Elaïa était une petite fille qui ne s'arrêtait jamais, elle apprit a marcher en première, et dès lors il fallu toujours avoir un œil dessus tellement la petite curieuse courait dans tous les sens pour tout découvrir dans la maison. Et dès que Evangeline se mit a suivre sa sœur, les pauvres parents n'avaient plus répit sauf le soir quand les petites épuisées par leur journée de découvertes dormaient, l'une contre l'autre à poings fermés. Imaginez maintenant lorsqu'elles se mirent à parler, ne connaissant que quelques mots elle s'amusaient à les répéter à tour de rôle, comme si le mot rebondissait contre un mur. Pire encore une fois arrivées à l'école elles refusèrent d'être séparées, et voulaient s'habiller toujours de la même manière. Elles s'amusaient même a parler en même temps pour rentre folles leurs maîtresses, pas méchamment, juste pour rire. En effet, même si leur caractères différaient, elles étaient toujours de paire pour les bêtises ! Il leur suffisait de se regarder dans les yeux un quart de seconde et chacune savait ce que l'autre avait dans la tête. Mais leur jeu préféré restait tout de même de prendre la place de l'autre. Les farces en tout genre n'avaient plus aucun secret pour les terribles jumelles.
En grandissant, Elaïa se montra plus turbulente et insolente que sa sœur, posée et calme. Puis elles commencèrent à vouloir s'habiller différemment, elle grandissaient et prenaient des styles différents, même si elles restaient toujours aussi liées l'une à l'autre.
« Leurs vie était douceur et des nuages blancs, mais d'autres gens en avaient décidé autrement »
II. Le début du cauchemar
« Ils avaient déménagé de L'Angleterre afin d'échapper aux violence qui commençaient à se rependre telle une poudre a canon. Ils était aux États-Unis maintenant, à Los Angeles. Mais les violences étaient aussi présente dans cette grande ville, et vite le monde entier était ravagé par la peur et les meurtres. Les gens abandonnaient leurs maisons pour se cacher et donc la population était devenue sale, affolée, terrifiée. Les jumelles ne comprenaient pas tout et avait peur sans vraiment savoir pourquoi et surtout de quoi.
La petite était cachée derrière la barrière, elle voyait absolument toute la scène. Un homme, grand, pâle, très bien habillé et très propre ( ça l'avait marquée car ces temps-ci les gens étaient tous très sales comme tout le monde vivait dans les rues par peur de se faire tuer en même temps que l'on saisisse leur maisons ). Il en tenait un autre, très sale qui pleurait, et qui ne touchait plus le sol tant le grand pâle le tenait fort par le cou. La petite était horrifiée, elle avait envie de crier, de s'enfuir, mais elle était pétrifiée, et ne pouvait détourner les yeux sur cette sanglante scène. L'homme bien habillé et très fort avait projeté l'autre contre un mur, et le craquement des os avait résonné dans l'allée. Le petit crasseux avait poussé un hurlement déchirant les tympans de Elaïa. Les larmes coulaient sur ses petites joues rondes. Elle voulait hurler au monsieur d'arrêter mais que pouvait elle faire du haut de ses 10 ans contre un homme aussi fort et aussi bizarre. On disait que c'était des « vampires ». Elle n'y crus pas jusqu'au moment ou cet étrange personne c'était accroupie près de sa victime agonisant au sol et, tout en lui tordant le cou lui croqua le cou. Le pauvre innocent, hurlait se débattait mais ses forces l'abandonnaient au fur et à mesure que l'autre le vidait de son sang. Horrifiée l'enfant se demandait comment elle allait faire pour échapper sans qu'on la voie, vu qu'elle devait quand même courir jusqu'à la maison sans être couverte et donc aux yeux du tueur. Une fois son horrible crime commis le « vampire » allait pour partir quand il se figea et commençait à se diriger vers la cachette de la petite Elaïa. Les yeux exorbités elle n'arrivait pas à bouger, il aurait pourtant fallu qu'elle se sauve en courant, mais impossible d'ordonner a ses jambes de courir. Les sanglots commençaient à l'empêcher de respirer. Elle se recroquevillait sur elle même au fur et a mesure qu'il s'approchait. Une fois près d'elle il accroupit pour être a sa hauteur, et lui attrapa le menton d'une main froide.
_ De la chair fraiche, tiens comme c'est amusant.
Sa voix était grave, profonde et pourtant si froide, si cruelle. Rien que le fait qu'il parle elle explosa en sanglots. Elle ne comprenait pas ce qu'il disait, mais elle savait qu'elle allait mourir, et elle savait qu'elle allait souffrir.
_ Oh mais non ne pleures pas ! Repris t-il amusé. Tu vas voir, je vais faire ça rapidement, tu seras un très bon dessert.
Il souleva la petite comme une poupée de chiffon, en dessous des aisselles. C'est là que l'instinct de survie de la petite Elaïa se réveilla.
_ NOOOOOOOON lâchez moi ! Papa ! Au secours Papa !
Elle hurlait, le frappait de ses petits pieds, et échappa même de son emprise et tomba par terre. Ce fut à ce moment que son père apparût vers la véranda muni d'un pistolet qu'il braqua sur le vampire. Il le visa dans la poitrine mais l'atteignit dans l'épaule, loupant son coup en voyant sa petite fille par terre roulée en boule. Le vampire blessé et étonné ce sauva, tout en riant et regarda la petite fille droit dans les yeux,
_ On se reverra. »
Suite par le point de vue de Evangeline : - Spoiler:
“ - Maman j’ai peur ! -Chut ma chérie, va rejoindre ta sœur, et surtout ne bouge pas, ne fais pas de bruit !
J’acquiesçais en déglutissant fébrilement, puis j’escaladais les barreaux de l’échelle menant au grenier quatre quatre , soulevant la trappe grinçante et découvrant le visage fantomatique de ma sœur. Ela ressemblait a un cadavre, tant son teint d’habitude d’une pâleur fraiche semblait cireux et maladif. Des cernes bouffaient la moitié de son visage, et je m’aperçus en prenant sa main dans la mienne pour m’aider à grimper qu’elle s’était rongée les ongles jusqu’au sang, elle qui était d’habitude si coquette. Je fermai la trappe avec la plus grande précaution, me blottissant contre le corps frêle de ma sœur, tentant tant bien que mal de la réchauffer. Mais a vrai dire, je ne savais pas laquelle de nous deux tremblait le plus. Nous mêlâmes nos doigts les uns avec les autres, en siamoises, et je repris mon souffle le plus lentement possible.
Il n’y avait pas de bruit dans la maison. Tout semblait paisible, calme, presque endormi. Et c’était pas vraiment normal. Je n’avais jamais connu ma maison autrement que dans un joyeux bazar, un tendre bordel et une cacophonie perpétuelle ? Nous étions parti pour L.A juste après la recrudescence des violences a Londres, avant de comprendre que la violence, et surtout leur Origine, était partout … En temps normal, j’aurais béni un peu de calme, mais la, il traduisait plus le malaise ambiant qu’un moment de répit. J’avais l’impression d’être dans un mauvais film d’horreur, ceux que maman refuse que l’on voit Ela et moi mais qu’on regarde quand on est juste avec papa. A présent la seule chose que j’entendais, c’était les battements de mon cœur et de celui d’Ela. Et peut être un ou deux sanglots. C’est la voix plaintive de ma moitié qui me tira de ma torpeur.
-… Tu crois qu’ Ils sont là … ? - J’en … j’en sais rien Ela… - J’ai peur … imagine qu’Ils nous face pareil… J’entendis un sanglot étrangler la gorge de ma sœur. -Pareil qu’à qui .. ? - Tu sais bien … Pareil qu’aux Lockwood, aux Bernier et tous les autres… ils entrent dans les maisons… Puis tout le monde disparait… Ou comme, comme tout à l’heure…
Par réflexe, je plaquai ma main sur sa bouche, l’empêchant de continuer. Je n’avais rien vu, je ne voulais pas en plus qu’elle me le dise. Je l’avais entendu hurler peu avant, juste avant que papa l’amène dans le grenier, et que maman m’attrape par le col et m’entraine avec elle dans la cuisine. Elle ne m’avait pas expliqué grand-chose, juste qu’un monsieur s’était fait tué en pleine rue, comme ça, sans explication, et que par précaution, il fallait qu’Ela et moi nous nous cachions, et surtout, que l’on ne fasse pas de bruit … J’avais froid, j’étais terrorisée, et seuls ma fierté et mon orgueil m’empêchait de pleurer. Maman, papa, où étaient ils … J’avais l’impression que nous étions dans le noir depuis tellement longtemps … Impossible de savoir, je m’assoupissais lentement. Puis Ela se débattit rageusement, avant de se raidir contre moi.
- Evan’, j’ai entendu du bruit…
Je tendis l’oreille en même temps que ma main rejoignait celle de ma sœur, le cœur battant a une vitesse folle. Des bruits de pas, mais pas de cris, pas de chute, pas de lutte. Juste des pas, pas beaucoup, peut être une ou deux personnes, j’avais trop peur pour me concentrer. Puis finalement, la trappe s’ouvrit, lentement, avec un grincement sinistre. Pas de lumière, la personne qui avait trouvé l’ouverture l’avait surement fait l’aveuglette. Bizarrement, la voix qui s’éleva, bien qu’inconnue, n’était pas du genre a faire peur. Elle était … Normale, humaine, enfin je le croyais.
- Drake, vise un peu ce que j’ai trouvé…
D’autres pas, mais cette fois on alluma la lumière. Sans que je sus comment ils avaient fait, deux hommes étaient là, devant nous, sans que nous ayons pu les voir monter. D’instinct, je me collai un peu plus fort a ma sœur, sans pour autant réussir a détourner les yeux des deux hommes en face de moi. Le premier, celui avec la voix humaine, tourna la tête vers son compagnon, celui qui s’appelait Drake, de toute évidence.
- Alors, c’est laquelle ? L’intéressé me fixa, puis ma sœur, avant de hausser les épaules d’un air désabusé. - J’en sais strictement rien. Tu as vu comme elles se ressemblent, comment veux tu que je sache ! après tout, finissons en, et rentrons, je suis las … -Attend…
Le premier s’avança vers nous, et saisit mon bras avec un force que je n’aurais jamais prévu en vue de sa taille modeste. Il m’arracha des bras de ma sœur, nous tirant a chacune un couinement, puis releva mon menton entre son pouce et son index. De son autre main, il écarta les mèches de cheveux cachant mon visage, dévoilant mon regard brouillé de larmes, qui ne l’émurent pas plus que cela. Lentement, je le sentis s’approcher de mon cou, son souffle froid léchant ma peau tiède d’enfant, avant qu’il ne me lâche, apparemment fort satisfait :
- Ouais … Elles sentent super bon, une vraie invitation … Et regarde, elles sont pareilles, parfaitement identiques… Il y a du potentiel dans ces deux la, de quoi investir pour plus tard … Si t’en veux pas , moi je les prend !
Je l’entendis se saisir de ma sœur, qui poussa un hurlement strident. Mon dernier souvenir de la scène, puis tout devint noir …
III. Les camps, Le Dressage La seule chose dont la jeune fille se souvient est de cette journée où en même temps elle avait vu un homme être tué, ses parents pour la dernière fois et le souvenir de leur capture. Quand le vampire était entré dans le grenier, il en avait appelé un autre, l'autre avait passé sa tête a travers le plancher et elle l'avait reconnu instantanément. C'était lui, il était venu la chercher ! Elle s'était collée à sa sœur, mais lui ne l'avait pas reconnue, heureusement. Mais maintenant elles étaient toutes les deux dans ce pétrin sans leurs parents chéris. La Petite forma alors une haine viscérale envers ces monstres suceurs de sang. Après que le vampire l'ai attrapée par le bras et qu'elle et Evan soient à la merci de celui-ci, elle sombra dans le noir. En se réveillant, elle était aux côtés de sa sœur, dans ce qu'elle compris plus tard, être un camp de ponction de sang. Contrairement à Evan, Ela ne se montrait absolument pas coopérative, mordant, griffant quiconque s'approchant d'elle. Pas de chance pour elle, sa force était loin d'être suffisante. C'est pourquoi aux conseils avisés de sa sœur elle se calma un peu afin d'éviter de se faire punir sévèrement pour son comportement rebelle. Elle comprit aussi dans ses camps a quel point les humains étaient considérés comme des animaux, des « vaches » à qui au lieu de tirer le lait on en tirait le sang. L'enfant devint adolescente et grandirent avec elle ses sentiments de dégout et de haine profonde envers leurs tyrans. Elle et sa sœur avait été à une sorte d'école, ou on leur apprenait à être de bon toutous obéissant. Vous devinerez à quel point Elaïa se moquait de ce prétendu « apprentissage de la vie et du respect ». Pourtant elle ne faisait pas de fautes graves, Evangeline était la seule à avoir emprise sur elle. Et la peur de se voir séparées l'empêchait d'être à son summum de l'insolence. Une fois l'école passée, on les envoya dans un camp de dressage au Canada, ce qui confirmait la thèse d'Elaïa comme quoi les humains n'étaient plus que des animaux. Ce que la jeune adolescente n'avait supporté, avait été l'inspection d'entrée. Elle avait crié, c'était débattue, mais l'on avait comme passée au radar. Comme si son corps n'était qu'une marchandise qu'il fallait vérifier, on avait vérifié jusqu'à sa virginité. Cette vampire qui lui avait fait passer ce « test d'entrée » … elle aurait voulu lui arracher les yeux. Puis vint le moment le plus horrible de sa vie. On la sépara d'Evangeline. 6 mois, les plus horribles de toute sa vie. L'impression d'être divisée, l'impression de n'avoir qu'une seule partie de soi-même. Pendant ces 6 mois, Elaïa avait laissé libre court à sa fureur, ne voyant pas pourquoi elle resterait sage et docile si lui on lui enlevait sa raison d'être. Au bout de 6 mois on les laissa se retrouver et on ne tenta plus de les séparer. Mais quelle ne fut pas son étonnement horrifié de voir sa sœur affaiblie, et n'étant plus que l'ombre d'elle même. Malgré son mauvais caractère et son côté sauvage, la jeune fille se tempéra. Toutefois elle restait bien moins docile que sa jumelle. Mais les années l'aidèrent à s'épanouir, tel un bourgeon elle devint une magnifique rose, d'une beauté parfaite mais piquante et sauvage. Elle se rendit compte du fait qu'elle plaisait aux hommes. Tout comme ça sœur, mais ce n'était pas si étonnant sachant qu'elles se ressemblaient comme deux gouttes d'eaux. Mais les cheveux courts et légèrement rebelles la rendent un peu plus intrigante, un peu plus difficile à attraper dans ses filets.
VI. Désormais
Maintenant et plus que jamais Elaïa à l'impression de n'être qu'un animal que l'on vend au plus offrant, une sorte d'animal de compagnie pour vampires. Elle et sa sœur attendent d'être vendue, ensemble. Heureusement pour elles, elles sont identiques physiquement, mis à part les cheveux court d'Ela, elles sont des copies conformes, du coup il est plus intéressant selon le « vendeur » de les vendre ensemble afin d'en tirer un meilleur prix. De plus, vendue seule Ela ne serait absolument pas rentable vu son mauvais caractère. Il est donc plus sage de la part des « vendeurs » de la vendre en même temps qu'Evan qui est bien plus docile (en apparence ). Et ils espèrent que leur futur « maitre » saura mater cette petite sauvageonne. Ela ne sait pas combien elles valent, mais ce qu'elle sait, c'est que une fois de plus leur gémellité leur rend un immense service, celui d'éviter qu'on les séparent.
Que penser de l'avenir ? Être une esclave d'un riche vampire et se considérer comme chanceuse de ne pas être dehors, sans abris et en constant danger ? Devant Ela se posait un dilemme, être docile et sage comme sa sœur pour éviter d'en être séparée et d'éviter de s'attirer des ennuis, alors que cela irait contre sa nature profonde et sa haine envers leurs tyrans, ou alors se rebeller et être séparée de sa raison d'être ?
Pour l'instant elle avait décidé d'être sage, d'essayer d'être moins belliqueuse, mais elle ne serait pas agréable pour autant avec les suceurs de sang.
Elaïa n'est pas un ange, loin de là ! Ce n'est pas parce qu'on à réussi à la capturer qu'elle sera pour autant une esclave docile, gentille et soumise. C'est une jeune femme avec un caractère de chien. Une vrai furie. Si Elaïa à décidé de vous pourrir la vie, elle y arrivera aisément, ce n'est pas l'imagination qui lui manque. Contrairement a sa sœur, qui cache son côté sombre et dangereux, la jeune femme n'hésite pas à être franche et garce face à quelqu'un qu'elle n'apprécie pas. Elle est totalement incapable d'être hypocrite. Le caractère d'Ela est imprévisible, tout comme elle et ses sautes d'humeurs. La seule personne qui arrive encore à la maîtriser et encore s'il n'est pas trop tard pour cela, est Evan. La jeune femme ferait tout pour sa sœur. Elle se considère comme protectrice de sa sœur, même si elle n'en a nullement besoin. Et comme Evan est celle que les gens considère la plus « sage » Ela écoutera plus facilement les recommandations ou les mises en garde de sa jumelle. Comme quoi ce n'est pas parce qu'elles se ressemblent qu'elles sont pareilles. Par contre Elaïa est une actrice divine. Elle est capable de jouer la comédie ( et très bien ) pour parvenir a ses fins. Elle est réellement capable de tout pour mettre de côté toutes personnes en travers de son chemin, sauf Evan qui bien sur n'aurait pas l'idiotie de se mettre en travers du chemin de sa sœur.
Mais sachez que si vous arrivez a vous frayer un chemin jusqu'au cœur de cette jeune femme, elle sera une amie fidèle et sincère, presque naïve. Mais en ces temps de guerre, occupation, appelez cela comme vous le désirez, Elaïa se méfie de tout le monde, que ce soit humains ou ces maudits suceurs de sang ! Contrairement à sa sœur qui est froide et qui possède un sang-froid hors du commun, elle est très chaleureuse et est tellement spontanée qu'elle ne réfléchira pas toujours avant de répondre ou d'agir. Mais ça ne veut pas dire qu'elle est idiote pour autant. Sa nature est simplement d'être franche. Mais s'il le faut elle saura très bien mentir, même si ce sera avec moins de talent que sa sœur.
Pour la jeune femme Evan est comme un exemple de sagesse et de sang-froid. Dans son cœur sa sœur est posée sur un piédestal. Comme dit souvent sa jumelle, « deux corps pour une seule et même âme ». Elaïa ne peut aller bien si sa sœur va mal et elle se sent heureuse si elle sent sa jumelle heureuse. C'est comme si un lien les reliaient et leurs permettait de savoir comment va l'autre.
La plus grande peur de la jeune femme est assez simple a déduire, c'est d'être séparée de sa sœur, c'est pour cela qu'elle serait capable de se battre corps et âme pour rester auprès de sa jumelle chérie. Pour elle c'est a la vie a la mort. Elle ne peut vivre si sa sœur est morte, et elle sait que c'est un sentiment réciproque. En ces temps l'amour d'une sœur jumelle est surement le trésors le plus précieux, sur lequel Elaïa veille sans relâche.
Comment décrire Elaïa sans décrire sa sœur en même temps. C'est peut être le désavantage des jumelles parfaites, tellement ressemblante que même leurs parents s'y tromperaient. Même si leur ressemblance est frappante et qu'il est difficile de les distinguer on peut tout de même apercevoir quelques divergences dans leur physique. Elaïa est plus grande que sa sœur, certes, pas de beaucoup mais cela suffit aux rares personnes proches d'elles de les distinguer.Mais cessons de les comparer, et faisons un instant comme si elle n'avait pas de jumelle afin de ne pas compliquer son tableau.
Elaïa est une jeune fille blonde, a la peau si pâle que une poupée de porcelaine serait comme bronzée comparée à elle. Ce n'est pas parce qu'elle vivait dans une cave, non, mais tout simplement que le moindre rayon de soleil trop insistant sur sa peau délicate lui provoque des coups de soleils et la rend cramoisie, ce qui selon elle n'est pas une couleur très glamour.
Du haut de ses 1m67 ( deux centimètres de plus que sa sœur youhouu), la jeune femme est considérée comme mince, mais sous ses airs de poupée fragile se cache des muscles. Certes, ce n'est pas non plus une catcheuse, mais elle a fait du sport de combat assez longtemps pour avoir les cuisse et les bras musclés, et les abdos, n'en parlons même pas ! La jeune fille possède tout comme Evan, de long cheveux blonds qui cèdent à tous ses caprices quand il s'agit de coiffure, elle peut réellement en faire ce qu'elle veux, bouclés, lissés, courts, longs. Elaïa et Evangeline sont belles, vraiment très belles, un visage ovale et d'une telle finesse qu'il vous en couple le souffle. Imaginez donc un peu ! Une perfection de la nature mais en deux fois ! Ses lèvres sans être trop grosses sont pulpeuses et roses de nature. Légèrement brillante car la jeune fille ne peut se défaire de sa manie de se passer la langue sur les lèvres.
Ela tente pourtant de se différencier de sa sœur jumelle. Mais ce n'est pas pour autant qu'elle ne l'aime pas de tout son cœur ! Sans sa sœur elle serait perdue, mais la jeune femme à besoin de sentir qu'elle possède SA propre personnalité, son propre style. C'est pourquoi elle préfère la plupart du temps arborer une coupe a la garçonne tout en rebiquant ses cheveux, se donnant un air rebelle et affirmant son sale caractère. Les yeux maquillés plutôt charbonneux et très appuyés qui permet de mettre en valeur ses magnifiques yeux bleus-gris tout en leur donnant une profondeur presque effrayante.
Dans sa garde robe on trouvera souvent des vêtements originaux et de couleurs très appuyés, noir intense, rouge sang ou bordeaux, vert émeraude, mauve-indigo, bleu électrique. Elle aime les couleurs flashys et le noir. Ainsi que des accessoires en touts genre : rubans pour les cheveux, barrettes …
Bien sût avec tout ce qui se passe et le fait qu'elle ai été capturée avec sa chère sœur le loisir de se coiffer, de se maquiller et de s'habiller comme elle veux est quelque peu … limité.
Célébrité Avatar : Elisha Cuthbert Prénom ou pseudo : Mélou Age : 19 ans D'où connais - tu le forum ? Google est mon ami :p Ton avis sur le forum : Plutôt bon, sinon je ne serai pas ici présente ! Présence sur le forum : Le soir et le week-end ( pas toujours ) Exemple de Post :
- Spoiler:
Elaïa était enfermée dans une sorte de cachot qu'on prétendait être sa « chambre ». Un lit, une fenêtre a deux mètres du sol avec barreaux ainsi que des murs nus et gris. La porte était en béton armé, le seul endroit laissant un peu d'air aérer la « chambre » était un judas qui permettait aux gardiens de vérifier qu'elle était toujours en vie. Mais de toute façon ils l'aurait su si elle était morte, il ne se passait pas une heure où prise d'un élan de folie et de fureur, hurlait et frappait contre cette porte close. Cela faisait trois mois ! TROIS mois qu'on l'avait séparée de sa sœur, elle ne l'avait jamais revue depuis leur arrivée dans ce maudit centre de dressage. Trois mois sans nouvelles d'elle ! Trois mois séparée de sa raison de vivre. Au départ on l'avait mise dans une chambre normale, comme tout les autres « pensionnaires ». Mais après ses maintes et maintes tentatives de fugues et ses accès de violence sur les gardiens, on l'avait enfermée dans ce cachot. De toute manière elle se moquait bien de l'endroit ou elle pouvait être, un palais aurait été une prison, car on l'avait séparée de Evangeline. Parfois on ne prenait même pas la peine de la sortir pendant la journée, l'obligeant a faire ses besoins dans l'espèce de pot de chambre qu'on avait prévu a cet effet. Mais il était peu ragoutant d'être dans le même espace de vie que ses besoins. C'est pourquoi, a part envie très urgente, Elaïa se retenait jusqu'à qu'on ai enfin l'obligeance de la « sortir ». D'ailleurs elle n'avait pas mangé encore aujourd'hui. Elle commençait vraiment à maigrir. Mais pour se maintenir en forme elle faisait du sport, pour s'occuper aussi. Finalement un passage de colère la poussa a se jeter violemment contre la porte, en hurlant telle une furie.
_ OH ! Y'a quelqu'un ! Je veux sortir ! Bande de sangsues ! Vous m'avez bien laissée pourrir dans mon coin ! Alors on se réveille !
Elle n'était pas injurieuse, même si ce n'était pas l'envie qui manquait. Mais elle s'était souvent fait battre pour « insulte à un être supérieure » et l'expérience avait été franchement douloureuse. Alors elle prenait soin d'être désagréable sans pour autant les insulter. Le judas s'ouvrit, des yeux bleus perçants la fixèrent, elle les connaissait bien ces yeux là. Aujourd'hui c'était le tour de garde de Brice. Un vampire autant imposant par la taille que par ses muscles. Une véritable armoire a glace.
_ Ah bah toi ! Ça faisait longtemps que t'avais pas gueulé pour qu'on s'occupe de toi ! J'ai bien envie de te laisser pourrir encore un peu tiens ! Dit-il.
_ Mais tu ne le feras pas, parce que tu sais que tu doit quand même entretenir la marchandise si tu veux qu'elle ai de la valeur et que tu puisse enfin te débarrasser de moi ! Elaïa tutoyait ses geôliers, parce qu'elle pensait qu'ils ne méritaient pas d'être respecté. D'ailleurs ils avaient abandonné l'idée qu'un jour elle puisse s'adresser a eux autrement. Quoi que Brice était le seul vampire avec qui elle n'essayait pas de s'enfuir ou d'être vraiment désagréable. Non seulement parce qu'il avait les muscles pour l'empêcher de s'enfuir et d'être violente. Mais c'était également le seul à ne pas la traiter comme une marchandise. Il s'amusait même à la surveiller, il trouvait amusant de se retrouver avec une humaine qui ne léchait pas les bottes de l'autorité pour assurer sa survie. Il avait un peu de respect pour elle. Et c'est ce que Elaïa appréciait chez lui. S'il n'avait pas été son geôlier et s'il n'avait pas été un vampire, ils auraient pu être amis. Mais ce n'était pas le cas, alors elle faisait juste en sorte d'être moins désagréable avec lui.
Code :Ok par Ally
Dernière édition par Elaïa Brynjolf le Mar 4 Jan - 20:07, édité 25 fois |
|